• Après avoir été général génial, nous avons un président prophète inspiré qui nous annonce que les troupes françaises vont quitter le MALI le mois prochain (sic); ça c'est fort! Donc il faut présumer que nous aurons nettoyé le Sahel des salopards islamistes ('?!) en deux coups de cuillére-à peau! (terme usé par les flibustiers). Notre président génial doit avoir un service de renseignement retaillé pour se permettre une déclaration officielle aussi stupéfiante... C'est sans doute qu'il compte sur les"Armées africaines" pour finir le travail. Il faut donc lui rafraîchir la mémoire (en supposant simplement qu'il sache ce qui se passe en Afrique. SOMALIE, CONGO, AFRIQUE CENTRALE, SOUDAN, BOKO HARAM et surtout ce qu'il s'y prépare! ON CROIT RÊVER! A moins que ce ne soit un effet d' annonce de plus pour les gogos ou Français Couillons pour y croire...

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  • lE PARTAGE DE CAPACITES OPERATIONNELLES  ou  SHARING et SPECIALISATION PAR PAYS:

    ((cette  option différente de la MUTUALISATION des moyens, repose sur l'idée qu'une  NATION détient une capacité , ou ne la détient plus du tout, s'en remettant à une autre ou à un ensemble d'autres nations pour la complèter ou y supplèer. Elle est plus handicapante que la pécèdente option car elle conduit  à des abandons capacitaires par l'une  des parties qui la rendent dépendante. Poussée à son extrême, cette option reviendrait à spécialiser certains Etats dans telle ou ou telle capacité. L'accord politique qui fonde ce partage est plus fort également, car les conséquences sur la souveraineté sont évidentes dans la mesure où "la CAPACITE PARTAGEE" est essentielle dans un engagement oprationnel. DE FAIT,par défaut, même en l'absence d'accord explicite, certaines nations européennes appliquent déjà de telles idées de partage capacitaire; la BELGIQUE et les PAYS BAS ne sont pas capables de conduire de manière autonome une intervention militaire, ils ont admis le principe de N'AGIR QU'EN COALITION.))

    (( De telles idées extrêmes ne seraient atténuées que par l'existence d'un POUVOIR  EXECUTIF  COMMUN ENTRE DES ETATS CONSENTANT DES ABANDONS CONCERTES; la spécialisation par pays oblige les Etats à un accord parfait concernant la politique étrangère et les intérêts à défendre... On peut étendre aux systèmes de force cette notion de partage (en excluant les "capacités de souveraineté", quoique la France ait tenté dans un passé récent "d'OFFRIR"   sa DISSUASION sur l'autel européen...) Ainsi, certains pays n'ont pas de troupes aéroportées ou d'unités de montagne. D'autres n'ont pas de capacités d'entrainement dans tel ou tel domaine. On pourrait partager aussi les capacités de formation. La France a proposé de former les parachutistes à PAU ou les pilotes de tel domaine précis( exemple avec les Belges), encore que dans leur état actuel le dimensionnement de ces centres repose sur la perspective d'un emploi strictement national.)) D'où nécessité de développer des capacités d'accueil supplémentaires dont le financement pourrait poser problème.Il est cependant, de facto, appliqué par plusieurs Etats européens qui ont décidé déjà des "impasses capacitaires" (c'est même le cas de la majorité des 27 pays de l'UE et...de l'OTAN))

    Mais souvent certains Etats , par défaut, ont déjà renoncé à détenir les moyens   de défendre de manière SOUVERAINE leur territoire et leur population contre une agresion armée, ce ne peut pas être le cas pour laFrance et le Royaume-Uni détenteurs de l'arme nucléaire . Leur application les conduirait inéluctablement à renoncer à leur INDEPENDANCE de vues stratégique et d'action militaire.; on en revient donc au PROBLEME POLITIQUE qui doit être clairement posé... Un Etat affichant des ambitions mondiales, ou régionales peut difficilement s'accomoder d'un telle politique de moyens militaires.On notera également que la constitution d'une CJEF ( Combined JointExpeditionary Force) franco-britannique inscrite dans le traité  de LANCASTER, n'est pas à proprement parler, une mutualisation d'unités, puisqu'elle sera constituée à la demande, pour une action donnée, d'UNITES TERRESTRES-, à priori, du niveau BRIGAD-, de moyens navals et aériens qui ne sont pas affectés à titre ermanent. C'est une FORCE COMMUNE INTERARMEES selon un schéma comme les Européens le pratiquent depuis vingt ans sur tous les théâtres où ils sont engagés ensemble.

    A suivre

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  • Avec lucidité, le général FAUGERE sachant que l'Europe unie comme souhaitable pour être efficace n'est pas pour demain, développe plusieurs options de SECOURs édifiantes:

    ((LA MUTUALISATION OU POOLING: de moyens ou de capacités semble signifier la constitution de pools autour de moyens ou de capacités - ce qui est déjà moins clair dans ce dernier cas- mis en commun avec une structure bi ou multinationale de commandement ou de gestion qui leur soit propre, et dont la mise à disposition serait possible lors d'intervention par au moins deux nations volontaires, ou plus. Par exemple une flotte commune d'avions de transport comme c'est le cas déjà entre deux Etats européens.

    LE PARTAGE DE CAPACITES ou SHARING, suppose de son coté, une répartition préalable, plus que des moyens, parmi certains Etats seulement, de manière à ce qu'une capacité soit détenue , in fine, au sein de l'Europe de la défense, les autres nations pouvant en faire l'économie. par exemple, la capacité AERONAVALE, détenue par les seuls nations ayant acquis des porte-aéronefs (France, Grande Bretagne Italie, Espagne). Ou encore de projeter un ETAT-MAJOR de niveau opératif ou de composante d'armée au profit de la communauté( comme le Corps de Réaction Rapide-France à Lille.)

    Ou un HYBRIDE DE CES DEUX CONCEPTS avec  la "mutualisation partagée", c'est-à-dire la mise en commun d'une capacité par certains Etats  qui la détiendraient EXCLUSIVEMENT, comme le Corps Européen  Rapide de Strasbourg.Ces notions intéressent principalement des moyens existants ou des capacités déjà réalisées le plus souvent A FAIBLE NIVEAU...)) On voit donc que jusqu'ici il ne peut s'agir que d'actions limitées toujours possibles entre appareils millitaires, dont il reste à apprécier la pertinence politique, d'une part, et la plus-value opérationnelle d'autre part. Sur le plan politique, et en ABSENCE D'UN EXEXCUTIF EUROPEEN QUI N'EXISTERA QU'AU TERME d'UNE VERITABLE UNION POLITIQUE EUROPEENNE, la première question qui doit être posée a trait à la SOUVERAINETE NATIONALE  que chaque Etat est en droit de revendiquer encore, même s'il a accepté d'en abandonner d'autres pans (L'EURO). Or la France reste cependant très attachée à son indépendance en la matière et pas seulement en raison de la possession de la capacité nucléaire. Car, mutualisation et partage capacitaire nécessitent, DE FACTO, DES ABANDONS DE SOUVERAINETE  sur un outil par essence REGALIEN...))

    On commence à percevoir l'apparition d'une usine à gaz..((.Non seulement cela signifie qu'un Etat perde la totalité du spectre de ses moyens d'intervention, mais plus grave, qu'il sera par la suite DEPENDANT d'UN OU PLUSIEURS AUTRES PAYS, certes MEMBRES DE L'UNION EUROPEENNE MAIS DONT RIEN NE DIT QU'ILS PARTAGERONT TOUJOURS LES MÊMES OBJECTIFS de POLITIQUE ETRANGERE ou la MÊME APPRECIATION des OBJECTIFS MILITAIRES à ATTEINDRE POUR UNE INTERVENTION DONNEE)) L'exemple nous a été donné lors de l'intervention en Libye puis récemment au MALI, où les Etats européens ont FAILLI à la SOLIDARITE d'une manière INQUIETANTE pour l'AVENIR DE LA SECURITE EUROPEENNE!

    L'exemple allemand est particulièrement inquiétant, car la Constitution allemande ne correspond plus à la situation actuelle  vu la DANGEROSITE  de  l'ENVERONNEMENT et s'il faut chaque fois attendre que les députés allemands accordent leurs violons, aucune efficacité n'est à attendre de l'Allemagne, PARTENAIRE ESSENTIELLE de toute défense europénne (( Cette solution, au delà  de l'aspect politique de souveraineté nationale pose des questions de NATURE JURIDIQUE. L'EUROPE de la DEFENSE participe du volet gouvernemental et NON COMMUNAUTAIRE. Autrement dit, tout ARRANGEMENT en ce domaine, sur une mutualisation de moyens,  un partage de capacités, une mise à disposition des moyens d'un Etat pour un ou plusieurs Etats, relève d'accords politiques DONT ON PEUT S'ETONNER QU'IL NE DONNE JAMAIS LIEU à UN DEBAT NATIONAL, NI A CONSULTATION POPULAIRE, ALORS QU'IL NE S'AGIT NI PLUS NI MOINS DE LA PROTECTION DU TERRITOIRE ET DE LA POPULATION))

    Comment s'étonner alors que JAMAIS LES DEMOCRATIES NE SOIENT  PRÊTES à AFFRONTER LA GUERRE? La complexité de tels accords nécessaires et IMPERATIFS ne semble guère avoir ému nos dirigeants politiques maitres de notre destin. Le souvenir de MÜNICH ne semble pas les hanter...! Pourtant il est EVIDENT (( que concernant l'aspect proprement militaire et opérationnel, ce n'est pas au  MOMENT DE L'ENGAGEMENT QU'IL FAUT NEGOCIER ENTRE ETATS  SOUVERAINS LES CONDITIONS DE CES MISES A DISPOSITION.)) Le nombre d'Etats n'étant pas limitatif, la généralisation de ces principes vertueux provoquerait une combinatoire INVRAISEMBLABLE DEBOUCHANT INEVITABLEMENT SUR UN IMBROGLIO UBUESQUE D'ACCORDS INTER GOUVERNEMENTAUX, BI,TRI,OU MULTILATERAUX DES LORS QU'IL S'AGIRAIT D'INTERVENIR SUR UN SCENARIO DE CRISE- DE GUERRE, pourquoi pas avec les restrictions d'emploi toujours possibles qu'il faudrait bien prendre en compte, voire les retraits du dispositif de certaines nations avec leurs moyens mutualisés ou partagés selon le cas...! Telles les actuelles"CAVEAT"en Afghanistan, ou dans le passé, en Europe centrale...Il est GRAVE que l'Europe n'ait pas encore atteint ce degré de MATURITE, cette conscience de la DANGEREUSITE du monde actuel: Les cas libyen et malien l'ont suffisamment démontré.))

    MUTUALISATION DE MOYENS OU DE FONCTIONS, POOLING: ce type de mesures peut être un rassemblement, par les nations détentrices, de moyens identiques ou réservés aux mêmes fonctions opérationnelles. Cette mutualisation pourrait ausi bénéficier, à priori, de ces moyens et de ces capacités lors des engagements auxquelles elles participeraient. Il s'agit de la mise en comun: de systèmes d'armes ou d'équipements. Lundi 26 novembre 2012, 10 pays européens (Belgique, Espagne, France, Grèce, Hongrie, Norvège, Pays-bas, Pologne, Portugal) ont signé un accord visant à augmenter leurs capacités en matière d'avions ravitailleurs par l'achat, la location, ou l'emprunt d'appareils afin de RATTRAPER LEUR RETARD dans ce domaine. Ces capacités stratégiques font d'ailleurs partie des PRIORITES de l'Agence européenne de défense... Dès octobre 2012, la France avait déjà annoncé sa  sa commande de 14 ravitailleurs A330MRTT d'Airbus.

    (( La mutualisation demande déjà une communauté de moyens, voire d'équipements identiques, sinon elle ne sera que la juxtaposition de systèmes sans réelle plus-value ou avec des moindres économies sur les soutiens, par exemple (outillages et COMPETENCES)) La mutualisation est d'autant plus aisée que les matériels sont communs ou identiques; ce concept devrait pousser à développer et à produire des armements  communs en COOPERATION)) Ce qui n'est le cas que pour EADS. La liste des différents matériels, armements et équipements européens donne le vertige. C'est vraiment la tour de Babel. La complexité des conditions posées par la mutualisation est importante (structures communes de commandement, et de gestion des moyens, planification d'emplois établie à l'avance, procédures de mise à disposition ou de mise en oeuvre clairement établies dans les DOCUMENTS FONDATEURS, mutualisation d'unités opérationnelles répondant à des règles strictes comme celle d'un niveau à ne pas dépasser. Français et Britanniques se sont accordés pour ne jamais descendre en dessous du niveau de la Division concernant la mixité des troupes terrestres (maxi, niveau BRIGADE). 'Lobstacle linguistique, les particularismes nationaux, les comportements individuels et collectifs différents sont des obstacles REDHIBITOIRES en situation de stress extrême et des causes de malentendus peuvent mettre en péril la vie des soldats et l'accomplissemnt  de la mission))

     A suivre

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  • Avant d'aborder la remarquable étude du général Jean-Marie FAUGERE sur un sujet qui devient urgent dans l'environnement explosif du monde actuel, essayons de faire le point. Primo, aucune personne informée ne doute que la situation dans le monde est plus que préoccupante. Personne  "bien informée" ne conteste que les Etats démocratiques ne soient que rarement préparés à aborder une guerre internationale. En effet, dans  l'histoire, jamais les Etats démocratiques ne furent prêts à faire face à un conflit d'envergure, oubliant généralement que la DEFENSE ne S'IMPROVISE JAMAIS, réclamant non seulement une lucidité démocratique, une information objective, une préparation militaire et INDUSTRIELLE, et celle MENTALE des populations, dans un encadrement civique. Secondo, Lors de chaque grande guerre les généraux choisis par les politiques souverains furent des hommes âgés, tenants de la dernière guerre, provoquant régulièrement d'immenses catastrophes. Ainsi durant les années 30, alors que les nazis avaient fait la PREUVE ECLATANTE de la valeur de leur stratégie à base de blindés et d'appui aérien, (notamment durant la guerre d'Espagne), nos vieux généraux , malgré leur passé victorieux, persistèrent à douter de prophètes comme De Gaulle adepte de la guerre mécanisée telle qu'elle fut appliquée par les nazis. S'appuyant essentiellement sur la Ligne Maginot et animés d'un complexe de supériorité ne tenant aucun compte des réalités, ils entrainèrent la plus grande catastrophe de notre histoire, non seulement humiliante, mais déstreuse dans tous les domaines et dont nous ne sommes pas encore sortis.

    Oubliant même de créer une ARMEE DE L'AIR! On croit rêver. Quant à nos chars, leur emploi en paquets dispersés, alors qu'ils étaient de qualité, fit qu' ils furent simplement balayés. Notre aviation, sans doctrine et surtout sans moyens, sans entrainement en appui des troupes au sol,  fut également balayée. Les responsables ne furent jamais sanctionnés. On a l'habitude de dire en France qu'on a l'habitude d'avoir une guerre de retard. Nous devions vaincre parce que nous étions les plus forts. Point! Quant à notre allié britannique, il n'était pas plus prêt que nou, se reposant sur les forces armées terrestes françaises à la réputation invincible... Par chance, la Marine française était la plus moderne et puissante d'Europe. Mais on ne gagne pas une guerre avec la marine ou avec l'aviation seules.

    Mais aujourd'hui, au XXI° siècle où le progrès technologique est considérable, où le prix des armements est devenu prohibitif, où le patriotisme s'est évaporé en Europe, comment accepter l'incurie coupable des Européens, incapables de s'accorder depuis une cinquantaine d'années, alors que tous savent qu'aucune nation ne peut SEULE ASSURER  sa propre défense. Comment donc prétendre devenir puissance crédible sans POLITIQUE ETRANGERE COMMUNE, sans Forces armées cohérentes  et entrainées? Sans industrie de guerre coordonnée. Sans préparation tactique commune? sans matériels standardisés? D'autant que la guerre qui se prépare sera TOTALEMENT diffèrente de la précèdente. Le VIETMINH n'a t'il pas vaincu sans armée de l'air? Sans marine et même quasiment sans blindés? Il serait temps de cesser de se réunir pour bavasser sans jamais s'accorder, refusant la fédération, sous peur de perdre une souveraineté   de    paillette. Certes, grâce à l'OTAN l'alliance Atlantique a fait des progrès, mais ne pourrait pas suffire face à une masse bien armée, encadrée  et surtout délibérément    résolue à mourir pour sa cause. Nos dirigeants ont-ils pensé aux conséquences d'une défaite des nations occidentales? Certainement pas car ils ne peuvent même pas l'imaginer, tout comme en 1940....ALORS?

    un GENERAL? JEAN-MARIE FAUGERE,parmi d'autres  comme Vincent DESPORTES pour  ne citer qu'eux, a rédigé une étude remarquable sur  la question,  (( MUTUALISATION DE MOYENS ET PARTAGE CAPACITAIRES?  Il est nécessaire d'étudier au fond les conditions de mise en oeuvre de ces PRINCIPES qui ne sont pas aussi aisés qu'il y parait et surtout qu'ils présupposent un ACCORD POLITIQUE DURABLE entre Etats membres sur des hypothèses très variables d'engagements militaires. D'autant que  ces concepts, présentés comme la SEULE REPONSE COLLECTIVE  à  LA PENURIE BUDGETAIRE, sont autant d'incitations à DIMINUER un EFFORT  DEJA  MODESTE au motif que mettant les ressources en commun, le besoin financier sera moindre et que le voisin pourvoira à ses propres déficiences (ATTENTION, C'EST L'USINE A GAZ!) Au contraire il faudrait dépenser autan,  mais plus intelligemment.( Car bien souvent, certaines capacités sont mobilisées à l'EXTRÊME, (exemple: le ravitaillement par air et oblige alors à limiter le niveau de l'intervention et son ampleur.) Mais qu'en serait-il si les circonstances imposaient l'ENGAGEMENT MAXIMUM  dans le cadre de la défens ecollective par exempe ( art.V du traité de l'Atlantique nord )? IL SERAIT TROP TARD POUR CONSTATER QUE LA SOMME MUTUALISEE OU PARTAGEE D'INSUFFISANCES dans les jours paisibles reste une INSUFFISANCE! Il n'existe pas, A PRIORI, de définitions de ces deux concepts ( mutualisatio des moyens et partage capacitaire.)

    ( A SUIVRE)

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  • Si nous essayons de recapituler, le nombre de foyers du terrorisme actif (pour l'instant) ne semble pas avoir augmenté (AQMI,AQPA, MUAO, ASCERDINE, ), mais dans le Caucase, la Tchétchénie, à peu près soumise à la "méthode drastique" russe (cf, soviétique), se poursuit en Ossétie, en Ingouchie, et au Daghestan. Au Cachemire, rien n'est règlé, les islamistes continuent de menacer l'Inde avec l'appui des services secrets du Pakistan. En Afrique orientale, les crises sont anciennes comme ("chez les Touaregs: 50 ans environ)". les SHEBABS étaient en relation avec AQPA et les réseaux d'AL-QAÏDA en Tanzanie, au Kenya (où enlèvements et attentats se poursuivent. Jusqu'en Ouganda et même aux Comores! En extrême Orient,  les réseaux indonésiens sont liés à ceux des Philippines. Dans l'ensemble on peut affirmer actuellement que". tout le monde travaille dans le même but, mais chacun à son rythme".En Ouzbékistan les islamistes sont très actifs, en liaison avec les Cachmiris, harcelant la Chine. Mais le plus inquiètant c'est le Moyen-Orient, véritable poudrière, car de nombreux réseaux islamistes sur-armés s'y développent.De même au Soudan et en Afrique centrale, et au nord du NIgéria avec les térrifiants BOKO HARAM (qui ne semblent pas inquiéter l'ONU...sont en liaison avec AQMI.

    Une des conséquences vraisemblables après la chute du règime en Syrie sera l'émergence des islamistes qui feront tout pour s'imposer  aux révolutionnaires dont l'unité et l'organisation ne semblent pas brillantes. Le Liban, la Jordanie, l'Irak et même la Turquie seront aux premières loges, d'autant qu'à la frontières sud d'Israël, les groupes djihadistes en collusion avec GAZA sont en train de s'agiter car le pouvoir actuel en Egypte ferme les yeux sur ce qui se passe au Sinaï Il faut donc s'attendre , quelque soit l'issue en Syrie, à ce qu' on assiste à un renforcement des réseaux djihadistes avec les conséquences explosives pour la paix internationale

    L'attitude de l'IRAN  aidé par la Chine pour son réarmement,  qui joue l'apprenti sorcier dans cette région., ainsi que le double jeu de l'ARABIE SAOUDITE nous réservent des surprises prévisibles. Sans jouer les prophètes, nous sommes un peu comme dans les terribles années 30. Tout le monde était prévenu, mais PERSONNE n'a CRU, NI AGIT, MÜNICH hante actuellement les esprits les plus lucides. Hélas l'Europe demeure une tour de Babel refusant toujours de s'accorder pour sa défense comme nous le verrons dans l'article suivant. Dormez en paix citoyens, le nez sur le guidon de la crise...

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