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Tétanie stratégique de l'Europe
De réductions budgétaires en réformes, les Etats européens semblent condamnés à l'IPUISSANCE... et on peut le redouter, à la perte de capacités ABANDONNEES POUR DE BON...! Cette analyse signalée depuis une dizaine d'années, comme nous le verrons dans des tableaux CHIFFRES. En attendant, d'autres mouvements politiques et STRATEGIQUES, également en cours, n'en sont pas moins déterminants de l'AVENIR STRATEGIQUE de ces Etats, mais aussi de l'UNION EUROPEENNE.
Les BUDGETS ne sont pas seuls évidemment, à ne plus accorder d'importance à la rhétorique politique. Concernant l'analyse des uns et des autres (Etats de l'UE) Ces budgets sont le produit de choix politiques et de mouvements de FONDS, peu perceptibles qui vont modifier CONSIDERABLEMENT la géographie militaire européenne , QUI AURONT DE GRAVES CONSEQUENCES pour l'avenir du continent...
En particulier, une sorte de retour à la MITTELEUROPA, rapprochement germano-néerlandais, PREMIER noyau de défense européenne, effectivement et réellement intégrée, qui est en fait, TOUT, sauf une BONNE NOUVELLE POUR l'EUROPE PUISSANCE. Après l'OTAN, voici une nouvelle distribution des rôles. En effet Ce modèle attractif, pourrait drainer à lui un groupe, poussière d'Etats, comprenant également, en plus de l'Allemagne et des Pays Bas, le Danemark, la république Tchèque, la Slovaquie, l'Autriche, la Croatie, la Slovénie, la Roumanie, voire la Bulgarie (...) L'unité Européenne en matière stratégie qui S'IMPOSERAIT s'évapore ...
Dans le contexte de crise économique structurelle actuel, le positionnement allemand s'oppose à une vision française EXPEDITIONNAIRE; gestion prévisible, insensible aux OPEX ,(ce dont les Français ont eu maintes fois l'occasion de constater...) où domine une version DEFENSIVE territoriale, politiquement RASSURANTE. Les Allemands ne sont d'ailleurs pas seuls , comme nous allons le voir, à n'avoir pas ENCORE compris que la muraille de la FORTERESSE EUROPEENNE, était déjà sur les rives méditerranéennes.
Le retour "aux affaires", j'allais dire de l'URSS ( la Russie en UKRAINE), semblerait bien adapté, si l'Allemagne disposait d'une armée crédible, ce qui n'est pas le cas, raison pour laquelle l'ami Poutine a choisi le moment d'imposer sa LOI... Juste au moment également où le brave OBAMA, tenu par ses promesse aux démocrates et fatigué après toutes les conneries de BUSH, n'est plus disposé à se mouiller en Europe, où il nous a prévenus de nous démerder SEULS...
A suivre
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