Notre ami Poutine, façonnée par sa longue expérience du KGB est donc atteint de paranoïa  comme ses prédécesseurs soviétiques. Certes il abandonné l'idéologie et sans doute  limité ses ambitions à  la taille de l'URSS, mais saura-t-il s'arrêter comme KROUTCHEV à CUBA? That is the question.Toute CONTRITION de l'Occident donnerait raison aux théories russes du complot du Kremlin.

Alors que l'élargissement de l'OTAN  s'est fait  à la demande de la POLOGNE, ou de pays souverains cherchant des GARANTIES APRES UNE HITOIRE TRAGIQUE INOUBLIABLE...Les Russes, du moins ceux guéris du communisme, savent que la crise traversée par la Russie, procède  avant tout de la FAILLITE de l'URSS, qui a eu les yeux plus gros que le ventre, et dont les RUINES semblent toujours l'ENSEVELIR comme l'avait prévu SOLJENITSYNE. Les dirigeants russes sont demeurés fidèles à la propagande classique soviétique cherchant toujours  des PRETEXTES et des BOUCS EMISSAIRES pour se JUSTIFIER.

Poutine poursuit sa course à la PUISSANCE en ayant un programme d'armements de 600 MILLIARDS DE $ sur dix ans alors  que la Russie n'est menacée par personne, à moins que ce ne  soit la Chine avec laquelle elle a une très longue frontière et un passé parfois agité(...)

En vérité , Poutine redoute de perdre le pouvoir en Russie, car le réveil du goût de la liberté pourrait bien à l'occasion d'une crise économique resurgir avec des conséquences imprévisibles ( L'OBSESSION du personnage façonné par le KGB) Il lui fallait donc un moyen de récupérer le peuple russe  en créant une MOBILISATION  INTERNE face à cet "ETERNEL ENNEMI EXTERIEUR", que la guerre en UKRAINE  lui a fourni.

L'inconvénient majeur pour la paix... est que ce bougre a réussi à rendre HYSTERIQUE ce nouveau PATRIOTISME ultra-nationaliste qui a surgi de la propagande  habile de Poutine, présentant "NOS FRERES UKRAINIENS en FASCISTES". Dans l'histoire tragique de l'Ukraine , son peuple meurtri se souvient des formidables FAMINES provoquées par STALINE, causant des millions de morts dans les années 30 et plus. Ce qui avait déjà provoqué une réaction inouïe lors de la pénétration des Allemands en Ukraine, puisqu'un des meilleurs généraux soviétique ,VLASOV avait déserté , puis passé à l'ennemi en créant une division SS...Phénomène non suivi après la chute du mur, les Ukrainiens n'aspirant plus qu'à la liberté., mais conservant une haine sourde à l'égard des soviétiques donc des Russes.

A suivre