La presse française et l'objectivité

Pour changer un peu et pour tenir compte des courriers que je reçois, attaquons donc le sujet concernant ce POUVOIR FORMIDABLE qu'ont les médias de former l'opinion publique en Occident, sous prétexte de liberté... Car ayant compris les premiers l'importance de ce véhicule, les marxistes et les nazis avaient infiltré de main de maître les médias. Nos socialo-verdâtres-mélenchoni-communistes,à bonne école, ont donc pris le pouvoir dans plus de 85 % des médias et plus sans doute quant à la télé. En la matière, en France, c'est eux qui font la loi, ce sont les maîtres à penser et hors de leurs avis, il n'y a point de  salut. Toutefois, pendant de nombreuses années, le magazine LE POINT m'avait semblé pour le moins neutre et j'ai longtemps considéré Claude IMBERT comme un des très rares journalistes talentueux  indépendants. Patataras, depuis "un certain temps", voilà que le POINT évolue doucement vers la TENDANCE  BOBO et commence à copier les copains de gauche, ce qui n'a pas échappé à ses lecteurs de originels. Sous prétexte d'ouverture certes,  et de faire TENDANCE comme le nouvel OBS par exemple, mais le fait est là.

Actuellement donc, seul Claude IMBERT surnage par sa lucidité et sa modération. Il n'hésite pourtant pas à critiquer, mais comme un honnête homme. Depuis 2007, on se demande encore comment le bouillant Sarko peut encore exercer un pouvoir de président. Pour une fois qu'on en  avait un hyper actif, ce qui nous changeait de Chirac, On lui imputait tous les péchés d'Israël. Non pas qu'il n'ait pas mérité bon nombre de critiques, essentiellement "comportementales", et variantes, mais ça nous avait changé de voir un président aussi travailleur et remuant, capable d'initiatives et de décisions rapides. Sa gueule, ses maniéres ne plaisaient pas. Noboday perfect. Pourquoi donc l'avoir élu? Car déjà comme ministre de l'Intérieur on le vouait aux Gémonies!  En France on a l'habitude de croire aux Messie et de juger le président sur sa popularité. Oubliant qu'il ne fallait pas confondre, forme et fond. Au temps divin de Mitterrand qui traînait d'innombrables CASSEROLES, et on ne sait pas tout, les médias n'ont cessé d'encenser ce Machiavel florentin qui a changé souvent de chemises. Mais c'était normal car seuls les socialistes détiennent la vérité. Les pauvres communistes français ont pu apprécier sa perfidie, puisqu'il a réussi à  liquider ses alliés. Non pas qu'il ait eu tort, mais le procédé juge l'homme à la valeur de sa parole. Aussi les VERTS feraient ils bien de se méfier de la parole socialiste. L'apparition du Matamore Mélanchon, suscitant l'enthousiasme des franchouillards en quête de n'importe quoi, va compliquer la sauce, quelque soit le vainqueur de la joute. Capable de jouer la bombe à retardement dans un pays toujours divisé et le plus souvent INGOUVERNABLE. Cet enthousiasme révélateur de la gravité du désarroi populaire risque à terme de maintenir" le FLEUVE dans son lit", dans un premier temps, puis de le voir déborder... Alors quid des sondages qui font les princes?

Ceux qui vont baisser les bras, aller à la pêche ou simplement s'abstenir, puisque les votes blancs ne sont pas comptabilisés, seront les vainqueurs et porteront la responsabilité des résultats. Ce qui fait qu'en France, on vote généralement CONTRE et rarement POUR. L'introduction du quinquennat ne peut permettre, quelque soit le président, de réaliser toutes les réformes de plus en plus URGENTES, si on veut survivre honorablement à cette crise. Les obstacles et obstructions sont telles dans notre pays où  les syndicats malgré leur toute puissance représentent peu les citoyens, qu'il ne faut pas compter sur un avenir rose. Les étrangers, nos frères européens,nous jugent frivoles, arrogants et en dehors de nos pompes, alors que nous possèdons tant d'atouts et de personnalités de talent en tous domaines. Quel gâchis que notre système tellement basé sur assistanat qu'il risque d'en crever...