-
Par la banniere le 21 Novembre 2013 à 13:29
Lorsque les FAUTES ACCUMULEES de TOUS LES GOUVERNEMENTS ont rendu la Société des Nations (SDN) IMPUISSANTE, Léon Blum s'est efforcé de rapprocher des grandes puissances démocratiques, une France alors isolée (...) (Mieux vaut tard que jamais, mais TROP TARD en conservant les généraux "naftalinards" de 14-18, restés en place avec les méthodes de combat OBSOLETES garanties., c'était foutu d'avance. Quant aux démocraties occidentales, elles ne valaient guère mieux en matière de préparation à leur défense... D'autre part , curieusement la France n'a pas disposé d'une ARMEE de l'AIR cohérente (...) ( malgré de rares chasseurs de qualité) Il faut reconnaitre que BLUM fut le premier à REARMER la France, mais c'était déjà bien trop , tard car on "N'IMPROVISE PAS UNE DEFENSE MODERNE" ( ce dont HOLLANDE n'a tiré aucun enseignement!!! Ses prédécesseurs s'étaient contentés , en gros , de conserver l'armement de 1918 et même antérieur et de ronronner :(( nous vaincrons car nous sommes les plus forts (sic) .( j'ai personnellement assisté au départ de nos bidasses avec des LEBEL et des MOUSQUETONS antédiluviens. Concernant les armes automatiques, la France possèdait l'antique HOTCHKISS pesant vingt kilos et tirant à la cadence d'une vieille machine à coudre, (alors que les MG allemandes giclaient à plus de 1000 coups / m. Seul le FM 24-29 était encore dans le coup mais encore...; pas de mitraillettes ,!Etc. Nos chars étaient de qualité , mais utilisés comme dans" le" temps", quant à la LOGISTIQUE, c'était un élément non encore DETERMINE...objet de commentaires dignes de Courteline.
Quant au désarmement de l'Allemagne, malgré les nombreux renseignements fournis par notre 2° bureau, très actif, qui en a tenu compte? Il faut dire qu'à l'INTERIEUR ça n'était pas brillant non plus; les grèves pullulaient littéralement, au point qu'un soulèvement ouvrier d'une AMPLEUR sans précédent dans notre histoire doit à Blum de ne pas avoir été sanglant. L'énergie et les moyens dépensés pour le social ont été une réussite, masquant une absence de préparation à la défense du pays. En effet , il ne faut pas oublier que la troupe mal armée et manquant d'encadrement entrainé a généralement trainé des pieds, alors qu'en face l'enthousiasme allant jusqu' au fanatisme donnait le change; ne parlons pas de la qualité des généraux...Aussi, quels que soient les lacunes imputables à Blum, ses ACCUSATEURS à son procès , Pétain en tête, n'ont pas réussi à accréditer la légende pesant sur les épaules du seul président du conseil en place au mauvais moment et trop tardivement pour sauver les meubles.
En revanche, quelques généraux auraient mérité de passer au "FALLOT" et DALADIER en tête. Ce taureau du vaucluse ayant baissé son froc à MÜNICH et s'être comporté par la suite en trouillard au poste de ministre de la guerre. Tous les témoignages concordent sur ce point et je vous en ai déjà énuméré quelques uns, "IRREFUTABLES, " dans mes précédents articles sur le sujet. Mais pourquoi me direz vous , sortir du placard ces vieux squelettes d'un passé déshonorant? JUSTEMENT parce que nous sommes en train de faire pire que durant les années TRENTE qui nous furent fatales. Notre défense nationale n'a jamais été aussi démunie, mais pire, notre industrie d'armement sera longue à remettre en route, sans parler du recrutement , hommes et cadres d'une armée devenue mexicaine. Ne parlons pas non plus du moral des militaires survivant aux réductions chirurgicales opérées jusque dans le MUSCLE. Il est donc normal que les anciens dont je fais partie s'insurgent et sonnent vainement le tocsin. Civil depuis 1966, dégagé de toute obligation militaire , considéré comme bon à mettre à la feraille, j'ai le droit en tant que citoyen libre qui fut professionnel engagé durant plus de dix ans dans des guerres "DIVERSES", d'alerter nos concitoyens sur l'épée de Damoclès qui nous menace.
Pour conclure cet article, je vais citer un article de léon Blum daté du 13 juillet 1935, non pas comme avocat, mais pour reconnaitre que cet homme qui s'est trompé sur les HOMMES et les sociétés humaines en croyant gagner la paix en désarmant l'humanité avait fait fausse route, faisant preuve d'une naïveté inconcevable au niveau d'un chef de gouvernement, confinant à l'innocence d'un boy-scout; Alors qu'à cette époque , les japonais avaient déjà opéré de véritables carnages en Chine, en Manchourie, BIEN QUE MEMBRES DE LA SDN! Que Mussolini allait attaquer l'Ethiopie, l'Erythrée, que la guerre civile allait éclater en Espagne. Qu'aucune solidarité occidentale ne vint au secours du régime en place légalement, de même pour l'Autriche, puis la Tchékoslovaquie, qu'il fallait être aveugle devant l'accroissement considérable de la puissance militaire d'une Allemagne, ayant reconstruit à zéro une armée moderne, résolue à se venger et partir à la conquête de vastes territoires. Je cite donc Blum:
(( Le patriotisme véritable, c'est l'orgueil de ce que nos aïeux ont fait de grand avant nous; c'est l'ardeur et la volonté de prolonger leur tâche; c'est la résolution de consacrer comme eux notre effort et de sacrifier s'il le faut notre vie pour introduire dans l'humanité toujours plus de raison toujours plus de bonté, toujours plus de justice : c'est la FOI dans les quelques grandes idées que, depuis deux cents ans, la France a représentées en effet dans le monde)) Nos socialistes devraient revoir leur copie , notamment concernant Jules FERRY et quelques grands COLONIAUX que les Africains reconnaissent encore de nos jours. Comme par exemple au Sénégal, mon pays, le génréral FAIDHERBE considéré comme le père du pays et SAVORGNAN DE BRAZZA au Congo. Comme LIAUTEY au Maroc. Je terminerai par une anecdote éclairante, alors qu'en mission au Maroc, lors de la visite du "petit roi" de Jordanie, un vrai dur, déclarant à Moulay hassan: (( si les Anglais avaient fait chez moi ce que Liautey a réalisé au Maroc, les Français y seraient encore. (sic) )) Fermez le ban!
-
Par la banniere le 20 Novembre 2013 à 13:39
En France, quelque soit le régime , il faut toujours trouver un ou des lampistes, chaque fois que le ciel nous tombe sur la tête. Aussi m'est-il venu à l'idée de rechercher les fautifs concernant la râclée de 1940, car l'AVENIR EST SOUVENT INSCRIT DANS LE PASSE... chaque crise majeure a provoqué tempête, cyclone ou tsunami. Les faits sont inscrits dans l'histoire, et pour ce faire quel meilleur bibliothéque que celle des ARCHIVES... Une fois de plus. PRIMO: la faute du peuple français dans sa quasi totalité est en cause, par ses votes, son indifférence, sa priorité exclusive à un hédonisme "aveugle", son utopisme socialiste, son choix de généraux en fonction de leur complaisance avec le pouvoir en place, sans considération avec leur compétence strictement militaire, etc. Bref, la troisième république, dans sa globalité porte la responsabilité de notre défaite...mais encore faut'il entrer dans le détail...
Le maréchal Pétain et les politiciens ont oublié que notre héro vénéré avait été MINISTRE DE LA GUERRE. Donc aussi incroyable qu'il n'y paraisse, le tribunal l'a gommé tout simplement de la liste des coupables. Mieux, encroûté dans la guerre de position , ne tenant aucun compte de la démonstration magistrale des nazis avec leur légion CONDOR durant la guerre civile espagnole, il a méprisé les officiers français ayant compris l'esprit de la nouvelle guerre, baptisée BLITZKRIEG. (( BILLEVESEES)) a t-'il dit lors d'une inspection sur le champ de manoeuvre d'un capitaine brillant, du nom de LE PULLOCH, qui devait devenir, hélas, longtemps après la guerre chef d'Etat-Major des armées. (Et sous les ordres duquel j'ai eu l'honneur de servir) . Le capitaine en question venant de lui faire une démonstration brillante de la guerre de mouvement, in situ, Pétain lui a dit (TEXTO):(( monsieur Le Pulloch, vous ne serez jamais qu'un PETIT INSTRUCTEUR!)) Ce à quoi , Le PULLOCH a répondu, raide au garde-à-vous, fixant le maréchal dans les yeux: (( de même qu'il existe de petits maréchaux!)) (sic) qui lui valurent 30 GROS...
Ne parlons pas de De GAULLE ni de ses écrits prophétiques sur la guerre des blindés., que les généraux allemands avaient lus... Le président du conseil ne l'a découvert que lorsque les boches avaient sonné la fin de la récréation, nommant De Gaulle " général à titre temporaire" et secrétaire d'Etat à la défense, (grade qu'il a conservé jusqu'à sa mort)... Ainsi va la justice en notre douce France. Alors, de se précipiter sur le malheureux Léon BLUM, ( qui avait le malheur d'être juif , circonstance aggravante à l'époque.!..), tout pour plaire...Certes Blum étant socialiste, une part de lui-même était UTOPIQUE, voire parfois angélique. Mais parmi ses préoccupations DOMINANTES, Blum redoutait que la LIGNE MAGINOT , non ACHEVEE! ne garantit pas la France contre l'invasion, SI ON LAISSAIT à l'ALLEMAGNE UNE ARMEE EQUIPEE AVEC des "ENGINS DE GRANDE PUISSANCE3, GROSSE ARTILLERIE, TANKS LOURDS, AVIATION DE BOMBARDEMENT (SIC, scripta manent)
Blum était un homme de bonne foi, lucide, mais comment expliquer qu'il n'ait pas réussi à convaincre son gouvernement des MESURES URGENTES à prendre dans un contexte international EXPLOSIF, pour non seulement REARMER CORRECTEMENT le pays, mais mettre en place des jeunes TURCS au fait de la guerre au lieu de se reposer sur des badernes du temps passé? Tous les généraux allemands avaient lu les livres de De Gaulle et des auteurs modernes de l'époque... Le système de la III° république ne favorisait pas l'EXECUTIF hélas, et Blum lui-même était respectueux de la constitution; il a crié dans le désert et de plus , n'avait aucune idée de la valeur de SES GENERAUX.
Il ya donc eu accumulation des causes, mais on ne peut lui imputer toutes les erreurs.. Il ne suffisait pas d'AVERTIR, puisqu'il avait sainement raisonné, il aurait fallu qu'il ait le POUVOIR et l'énergie de secouer le cocotier...Lors de son procés il a fait le POINT avec bonne foi:(( j'ai été AUTREFOIS un PACIFISTE, en ce sens que j'ai consacré des années d'efforts et d'études à rechercher les moyens de PREVENIR (...) la GUERRE et d'organiser en Europe la SECURITE COLLECTIVE.))(Mais disposait'il d'un conseiller militaire indépendant?)
((Mais la paix telle que nous la VOULIONS, et telle que nous ESPERIONS L'ORGANISER, c'était une paix INDIVISIBLE. C'était une paix reposant sur la PREVALENCE DE TOUTES LES "NOTIONS MORALES" qui règnent entre les nations, comme entre les hommes (...quelle innocence!))) Et suivez son raisonnement, mes bien chers frères, lisez la suite: (( Et, le jour où ils ont vu l'indépendance des Nations menacée, les CONTRATS VIOLES, LE MONDE LIVRE AUX DESSEINS DE CONQUÊTE et d'HEGEMONIE, ALORS? LES HOMMES QU'ON QUALIFIAIT INJURIEUSEMENT DE PACIFISTES BÊLANTS se sont rendu compte que, si la paix dépondait toujours sur la SECURITE COLLECTIVE, elle, ne POUVAIT REPOSER QUE SUR LA FORCE DES ARMES;))CQFD
Nous verrons dans un prochain article comment il a pu croire à la réalisation de sa formule: la SECURITE PAR L'ARBITRAGE et le "DESARMEMENT"(...) et qu'il s'est raccroché désespérément à la SOCIETE DES NATIONS COMME A UNE PLANCHE DE SALUT. Ce MACHIN selon De Gaulle)
A suivre
-
Par la banniere le 19 Novembre 2013 à 13:10
Je prie d'excuser ceux de mes camarades et amis qui connaissent mon CV, ou du moins une partie, mais je dois aux autres de révéler une partie non exhaustive de ma vie mouvementée, expliquant mes nombreuses réactions. Donc , je n'avais pas besoin de "l'ordination" du sieur Hollande et de ses sbires pour en avoir ras le bol, car j'avais pénétré trop jeune dans la cour des grands... En effet, à 15 ans je me suis engagé dans la résistance "mouvement COMBAT", alors que la France n'avait pas besoin de ma participation pour se libérer. Mais quand on a une âme de boy-scout, on n'y peut rien et c'est une tare dans ma famille. De père en fils , nés sous les tropiques depuis des siècles, aucun d'entre nous ne fut jamais mobilisé, mais tous volontaires dès que la France souffrait d'un "pet de travers". Attardé mental patriote ringard, par erreur débarqué dans un siècle décadent, Officier atypique. Proposé pour l'école des Officiers de CHERCJELL en 44, j'ai préféré le statut de tirailleur de 2° classe au 7°RTA afin de pouvoir poursuivre les nazis jusqu'à l'armistice. Je voulais finir ma guerre, que je de manquer en intégrant l'école.
Seul 2° classe eiropéen ," engagé volontaire" dans ma section de reconnaissance, j'y faisais tâche et en matière de racisme , j'y fis mes premières armes, (CF; la saga d'une génération sacrifiée), je fus nommé caporal, puis sergent et sergent-chef, sans passer par les pelotons mais simplement au feu. Mon tempérament était celui d'un aventurier guerrier convaincu des causes ( voire enfumé...) mais je n'avais pas l'intention de faire une carrière militaire tant j'en avais bavé. C'est ce bougre de général De Lattre de Tassigny, commandant la 1° Armée, qui après diverses péripéties me convainquit de préparer le concours de l'Ecole militaire spéciale de Coëtquidan alors que j'étais en occupation en Allemagne. Devant la situation intérieure en France , ce fut quand je rentrai en convalescence à Marseille, en 1945 , que je compris que ses arguments n'étaient pas sans fondement. Nous allions recommencer avec les mêmes qui nous avaient foutus dans la m.... en 40. Le même système qui avait fait ses preuves... On avait pressé le citron (vos gueules là dedans!), mais on pouvait prendre le large et connaitre l'aventure. J'intégrai néanmoins l'Ecolecomme major de mon rgiment et du 2° Corps d'Armée.
Effectivement je connus l'aventure; pour commencer j'atterris dans un régiment de vieillards restés vichystes ventrus doublement hameçonnés, qui au vu de mes origines de Français libre me sacquèrent en conséquence, car sous-lieutenant à vingt ans, et décoré on est plutôt sans ressources face aux dinosaures . Lors de ma seconde affectation j'atterris en Afrique Occidentale dans une garnison ou du général aux capitaines la majorité était communiste, tentant de m'enrôler vu mes titres de résistance; Ambiance! J'ai du à un grand général, LE PULLOCH, d'avoir mon plus beau commandement et de croire à nouveau à ce que je faisais dans l'enthousiasme.; Je fus ensuite muté à Saint Cyr comme instructeur au 1° bataillon , comme chef de section à la compagnie "dite de fer" (la 11°) Pui ce fut l'INDO (1952-1955) sale temps et de nouveau la honte . L'abandon de mes fidèles partisans vietnamens avec leurs familles....
En rentrant en 1955, rebelote, direct en AFN, où je refusai de commander des harkis , sachant qu'on les abandonnerait ( vieille habitude française, consultez les livres d'histoires). Ce qui aurait du me faire passer en conseil de discipline, mais au contraire me propulsa dans les missions spéciales, convenant parfaitement à mon tempérament. Ce furent des années terribles de divisions cruelles, de drames, où à nouveau la France se couvrit de honte en abandonnant nos harkis et les pieds noirs., comme je l'avais prévu. L'habitude d'opérer en dehors des "clous" me valut une belle mission, mepermettant de m'éclater. Puis je fus nomémment réclamé par le Président Senghor au général De Gaulle, pour la création de l'armée sénégalaise. Le Sénégal est mon pays si la France demeure ma patrie. J'avais passé une une enfance heureuse dans le Sahel où mon père était considéré comme un marabout.
Enfin affecté au Régiment de Marche du Tchad où je terminai comme officier en second du colonl BELLEC, héro de BIR-HAKEIM qui a bien voulu me pardonner mes aventures. Hélas c'était les sinistres années de 64 à 68, où il ne faisait pas bon se promener en tenue en ville sans risques d'accrochages. Ce qui m'arriva alors que je rentrais d'Orly où représentant le colonel je commandais un bataillon pour accueillir un président Africain, l'ineffable SOGLO) que j'avais bien connu et qui avait bien voulu me pardonner les misères que je lui avais faites. Obligés de rentrer en uniforme avec mon lieutenant porte-drapeau, dans ma vieille 404, nous fûmes bloqués sur le pont de Pontoise par un bouchon. Quand le véhicule me suivant se mit à jouer les stock-cars avec ma vieille bagnole; ötant ma vareuse, desserrant ma cravatte noire, je descends calmement et fappe à la vitre du conducteur, genre hippie dégueulasse et puant, mais hilare , me narguant, je lui décochai un coup droit qui lui éclata le nez et quelques dents. je l'extrayai de son carrosse , une Volkswagen volée. J'arrachai les clés du tableau de bord et les jetai dans la rivière, et reprenenais ma route. Obligé de rendre compte , je pris huit gros, et je posais ma demande de démission, qui vu ma jeunesse ne fut pas simple pour dégager avec l'article 4 à 39 ans. Messmer me connaissait, il jugea qu'il ne fallait pas insister.
Je recommençai une carrière à la jeunnesse et aux Sports, avec le colonel CRESPIN, directeur des sports qui avait été mon instructeur commando. Après un concours pour avoir une situation administrative de coseiller technique, et finalement d'entraineur national de course au large dont j'assumai la direction technique nationale Ma nouvelle expérience dans l'administration fit de moi un disciple de COURTELINE à CLOCHEMERLE qui m'amena à démissionner définitviement du service de l'ETAT avec dix ans de guerre, 25 ans de service et vingt ans d'une inoubliable expérience administrative, soit plus de QUARANTE ANNEES AU SERVICE DE L'ETAT...
Me repliant pour ma retraite en Polynésie française, je reçus chez moi un haut fonctionnaire que je ne connaissais pas, mais qui tenait à voir à quoi je ressemblais, sans s'annoncer à priori (( et alors lui dis-je , content de vous?)) (( restez zen mon ami , je suis le commissaire divisionnaire BLÜCHE directeur de la DST à Tahiti, je viens amicalement vous signaler que vous êtes fiché;(( ANARCHISTE IMPREVISIBLE, VOIRE DANGEREUX!) ('SIC)) Nous avons sablé le champagne pour la plus belle citation de ma carrière. A 87 ans! c'est sympa!
-
Par la banniere le 18 Novembre 2013 à 12:37
Quand les Fritz sont entrés chez nous, vous qui avez dit:(( ils sont corrects, tout va bien, il n'y a qu'à laisser couler l'eau sous le pont, vous avez connu la suite ,( pour ceux qui ont vécu ces heures de HONTE NATIONALE) )) Mais vous, jeunes générations, qui ne croyez même plus au pére Noël, sans avoir connu la dictature, et qui vous FOUTEZ du LENDEMAIN, car rien ne vous concerne plus que votre situation personnelle, et encore.!.. Si vous ne prenez pas les CHOSES EN MAIN, c'est une catastrophe qui vous attend; à moins de fuir , (mais où?) vous serez immolés avec les VEAUX qui ont tout accepté depuis trop longtemps... Les générations qui vous ont précédés sont responsables du laxisme devenu lAXATIF; prenez votre destin en main, n'ayez pas peur de secouer le cocotier; DEMAIN IL SERA TROP TARD!
-
Par la banniere le 17 Novembre 2013 à 11:50
Quand une population n'a plus le droit de s'exprimer, que lui reste-t'il? Le vote? La révolution? réfléchissez camarades, c'est un résistant de la PREMIERE HEURE qui vous le dit: seule consigne: NE PAS BAISSER LES BRAS! Patience et résolution font plus que force ni que rage!
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique