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doté
Donc disais-je, à 19 ans , je parlais déjà de foutre le camp hors d'Europe, mais songeant à 1940, ce cauchemar, vu le résultat de la démocratie en France, Je pensais déjà que c'était le PEUPLE français qu'il aurait fallu changer et non ses gouvernants INCURABLES et chaque fois remis en place. Quelque soit le bord , depuis longtemps c'est la DEMAGOGIE qui empêche toujours le pays d'avancer, la peur de la descente dans la rue d'une masse manipulée. Je ne suis pas d'une intelligence supérieure mais simplement doté d'un bon sens élémentaire, ce dont notre peuple semble bien dépourvu, car pour avoir élu une équipe de NULS pareils, il faut vraiment être taré. Désolé, mais ça commence à réagir; espérons que ce ne soit pas comme toujours par une bonne REVOLUTION...
Car du train où nos Charlot pondent des lois véritables PROVOCATIONS AU MEURTRE, cela pourrait bien arriver comme le prédit BAVEREZ dans son dernier pamphlet. Les Français n'ont toujours pas conscience de la gravité du MERDIER dans lequel, clercs, élites supposées et médias ont convaincus notre peuple bovin que le monde nous envie nos 35 heures payés 39, notre assistanat et nos rodomontades qui nous ridiculisent à l'étranger.
Je vous recommande donc de lire le fulgurant pamphlet de YANN MOIX, prix Renaudot 2013 dans le POINT, fustigeant une France infantile, immature, irresponsable, égoïste et PLEUTRE, qui n'a jamais eu peur de vieillir mais qui a peur de grandir. Nous y sommes habillés pour plusieurs saisons sans complaisance , avec même une fureur que beaucoup parmi nous partagent de plus en plus.(( France engoncée dans des préjugés de cancres pré pubères, France potache qui se rit de tout. France qui refuse de se taire cinq minutes et de s'appliquer .
France qui ne cesse de se montrer à elle-même ses propres fesses. France bloquée dans son âge mental et qui ne cesse de faire que la maligne. France en crise et qui, devant l'évidence de son IMPUISSANCE, continue à jouer les fiers-à-bras, exhibant la pauvre crevette qui git entre ses jambes comme le chibre fulgurant d'un colosse biblique.
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En 1945,après l'armistice, Sergent chef à la Première Armée, ancien combattant à 19 ans ,je rentrai à Marseille en convalescence, pour en profiter et reprendre des études larguées après mon premier bac. La société que j'y retrouvai me laissa ébahi; Une grande partie des bons " Français" qui avaient plébiscité le maréchal Pétain s'étaient inscrits au parti communiste (30%),des séminaristes partis au STO en Allemagne en chantant maréchal nous voilà étaient rentrés par Odessa chantant l'Internationale; lors de mon passage à mon vieux bahut , le Lycée Thiers, en uniforme, je perturbai l'ambiance sereine de ce noble vestige napoléonien car j'y retrouvai plus morts que vifs les anciens des partis nazis français que j'avais quittés en 1942...Mais ils n'arboraient plus leurs insignes et leurs bottes.
En ville, beaucoup de drapeaux rouges; les ouvriers français qui avaient construit le MUR de la Méditerranée grassement payés par l'organisation TODT revendiquaient poings tendus pour un nouveau salaire en défilant sur la Canebière. Gaston DEFFERRE s'était emparé d'un journal local vantant le retour de la gauche au pouvoir pour bientôt. Dans de somptueuses voitures américaines (...) aux couleurs éclatantes, avec au volant des rois du marché noir, cigare au bec, circulaient lentement en saluant au passage des connaissances dans les quartiers commerçants. Des gens déguisés en Officiers supérieurs avec sept galons (Sic) m'apprenaient qu'ils étaient lieutenant-colonels FFI. La radio m'apprenait le retour triomphal de THOREZ qui avait déserté en 1939 et deviendrait même ministre!!! Le célèbre Georges MARCHAIS était également de retour après avoir construit des MESSESCHMIDT pour les nazis au STO. Dans la presse il était question d'épuration bâclée ayant provoqué la mort de vieux retraités ayant cru en Pétain, mais habitant dans de confortables demeures, rien que des bavures, on n'y pouvait rien; ayant toutefois laissé en liberté le célèbre ami de Mitterrand , BOUSQUET , le copain des SS et chef de la police de Vichy. Dans la région de Limoges , un copain SAS parachuté dans le beau maquis de Guingoin , m'apprit en riant que ce héro authentique pensait sérieusement se battre pour une république soviétique française (sic).
La suite au prochain numéro car on me fait savoir que ça suffit pour ce matin.
A suivre
De retour chez mon grand père qui avait été un silencieux résistant parmi les premiers de la ville, je me lâchai par une bordée d'injures, lui demandant si nous nous étions battus pour ce résultat? Hochant tristement la tête, il me répondit que j'étais parti trop jeune à la guerre, gamin à 15 ans et adulte muri à 19 ans;" Les Français sont comme ça me dit-il tristement, TOUS DES PLEUTRES" sauf une petite élite dont beaucoup sont morts en Belgique, les plaines nordiques ou en Italie, dans les Vosges et l'Alsace.
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Un beau matin donc, dans les eaux calmes de la belle baie d'OPONOHU la pirogue fut lancée en présence des deux compères , l'Inspecteur avec ses cinq galons, costard 3 pièces et son acolyte de la sécurité (Véritas), en jean mais avec des dossiers. Notre belle pirogue rutilante, car astiquée, fut mise à l'eau devant les applaudissements des QUARANTE passagers cobayes exprimant leur admiration car c'était la première et l'unique pirogue dans le genre; Evidemment le grand balancier était en plastique, ce qui ne gêna nullement mes deux EXPERTS destinataires de mon courrier les prévenant que je refusais de prendre la responsabilité de cette pirogue DANGEREUSE , en expliquant pourquoi......
Ensuite vint le moment solennel de l'embarquement des 40 passagers ravis et des deux experts indifférents. Au premier lancement du moteur et dès l'embrayage pour décoller de la berge, dans un magnifique tonneau sonorisé par un craquement sinistre la pirogue chavira comme prévu et tout le monde fut projeté au bouillon pour la plus grande hilarité des "spectateurs à terre" et la stupeur des cobayes. Nos deux experts perdirent papiers et téléphones mobiles dans une eau à cet endroit couleur chocolat. Donc noyés. D'après mon copain hilare évidemment, il fallait voir l'expression des visages des experts; je voulais bien le croire.
Mais ça n'était que le début d'une farce digne de Courteline sous les cocotiers; Je pris un avocat célèbre, celui du président Gaston FLOSSE, connu pour gagner à tous les coups (sic). Il me dit que ça le gênait un peu d'attaquer deux SPECIALISTES OFFICIELS ,qui plus est détenant le monopole de ce genre de problème. Donc ça allait durer , me coûter de l'argent, etc. je lui dis benoitement que je faisais confiance en la justice française pour rentrer dans mes droits et un an de travail et d'études. Comme il avait l'air de trainer des pieds, je le prévenais que je m'étonnais qu'il ne fisse aucun cas d'un lancement dangereux alors que par courrier recommandé j'avais prévenu mes experts. Mieux, c'est alors que j'appris qu'ILS AVAIENT DONNE UN CERTIFICAT DE NAVIGATION en bonne et dûe forme à la pirogue en changeant de balancier, mais sans spécifie quoi, ni comment. Ces deux officiels ne furent ni blâmés ni même inquiétés!
Cette affaire traina plus d'un an, et je n'étais toujours pas payé , mais j'avais déboursé 250.000 Francs CP; Mon brillant avocat, me dit en riant, c'est comme au poker, il faut remettre une mise au pot et aller en cassation. Devant la coquette somme à débourser car il fallait traiter cette affaire en métropole!!!!. J'abandonnai écœuré, Deux ans plus tard, je reçus un chèque de 60000 fcp, sans un mot, la secrétaire m'apprit que Brossius n'était pas solvable. J'étais le dindon de la farce. Il occupait une propriété qui ne lui appartenait pas, un vrai squatter en toute impunité depuis plus de VINGT ANS...
Pour conclure cet article en beauté je vais citer le cas de notre bien heureux sénateur-président Gaston FLOSSE, 6° fortune de France, ( je ne prétends pas que sa fortune soit déposée en France...) Sa réputation sulfureuse est connue de TOUT LE MONDE dans le Pacifique et même à Paris en haut lieu. Lors de mon départ de Polynésie il séjournait en TAULE. A l'époque le pays était présidé par un ULUBERLU quelque peu à la masse , le célèbre OSCAR TEMARU. Que le peuple tahitien mit quelque temps à virer, rappelant alors Gaston pour le remettre au pouvoir mais en plus le nommer SENATEUR DE LA REPUBLIQUE française.
NO COMMENT!
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Comme vous le savez, j'ai passé plus de trente ans en Polynésie française; un pays qui était un paradis quand j'y ai débarqué pour organiser les IV° Jeux du Pacifique. En moins de dix ans, les Polynésiens ont subitement connu la valeur de l'argent car jusque là ils se faisaient alertement plumer par ce qu'on appelle 'DES HOMMES DE LOI français", dont certains sont même devenus milliardaires, osant fêter cet événement publiquement! je n'insiste pas car c'est un lieu commun.
En arrivant au paradis, comme j'avais divers diplômes civils qui auraient pu être utilisés, comme par exemple, expertise maritime, architecture navale, je me présentai au tribunal pour un conseil. La président me dit CATEGORIQUEMENT qu'avec ma réputation , je pouvais provoquer des réactions peu souhaitables, car les experts locaux, connus pour être des malfrats en expertise, ne manqueraient pas de me vouloir du mal. Comme je n'avais pas besoin de ça pour vivre, je n'insistais pas. Mais quand je sus comment ils opéraient IMPUNEMENT, j'en étais ébahi...Je n'entrerai pas dans le détail, mais je n'en pense pas moins, car ces EXPERTS étaient soumis aux lois, alors?
En matière d'architecture navale, je dessinai le bateau-école du territoire baptisé AVEIA, destiné à former des skippers et des capitaines de chalutiers ( Je n'ai formé en VINGT ans que des Européens, car aucun Polynésien ne vint jamais s'inscrire aux cours de navigation; ça ne les intéressait pas)), puis je dessinai et fabriquai un grand ",catamaran, capable de transporter environ cent personnes baptisé "BIBLIONAVE", un engin de plus vingt mètres , catamaran à moteur pour prêter des livres aux habitants des atoll et de certaines îles isolées et également leur projeter des films. Initialement considérée comme géniale et indispensable à l'éducation des habitants et surtout d'une jeunesse ravitaillée par des corbeaux, naïf comme souvent, j'en attendais beaucoup vu l'enthousiasme des jeunes et l'appui du directeur de la jeunesse et des sports. C'était croire au père Noël, car dès mon départ, le capitaine désigné pour s'occuper de cette charge, soit qu'il ne fut pas aidé, soit que comme toujours à Tahiti, ça finisse par ne plus l'intéresser, le bateau ne fut ni entretenu et ses moteurs abandonnés sans soin. je ne parle pas de la mission et du désintérêt général qui s'ensuivit...
Ne connaissant pas la réputation du sieur Brossius, mais qui vivait dans une vaste propriété avec troupeau de vaches et une femme que le travail ne rebutait pas, j'acceptai d' entrer en contact avec lui. Quand il m'annonça la couleur, je lui dis qu'il fallait d'abord connaître les règles draconiennes de sécurité françaises dès qu'il s'agissait de transfert de passagers. Et nous voilà partis à Tahiti pour réclamer les documents officiels et les explications techniques recommandés chez l'Inspecteur maritime. Ensuite, j'estimai plus prudent de prendre barre avec
le spécialiste officiel de la sécurité du territoire ( qui me fit une curieuse impression)mais comme il avait le monopole en la matière , je n'avais pas le choix)En Polynésie j'avais appris à me méfier à tous propos. Mon client me fit bosser pour lui pendant UN AN; passant d'une idée à l'autre sur caprice, ce que j'eus le tort d'accepter. Jusqu'au moment où je le mis en demeure de choisir ou bien je le laissais tomber. Nous voici donc devant une coque de près de 15 mètres, sans lest ni balancier. Voulant la rendre insubmersible, je la dotai de compartiments étanches, puis calculai la puissance du gros moteur hors-bord, de son hélice, etc.
Au moment de passer à la construction du balancier, je le prévenais que je tenais à ce qu'il soit en lamellé-collé dans le bois le plus imputrescible et robuste. Puis comme son comportement devenait bizarre, car je suivais la construction de la pirogue en visitant le chantier tous deux jours, je découvris avec inquiétude que le bougre, pour faire des économies me fabriquait un grand balancier en plastiquesans structure interne, qui casserait dès sa mise à l'eau, provoquant le chavirage avec ses conséquences. Et comme il s'entêtait, je le prévins que j'allais immédiatement en informer l'Inspection Maritime et la sécurité.
A suivre
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Celle des hommes ? Ou celle de Dieu? Par expérience je parie pour tenter celle de Dieu et je ne suis pas plus fier pour autant, mais quelle qu'elle soit, elle sera indiscutable, car chacun de nous avons, petit ou grand défaut, quelque chose à se reprocher devant notre créateur. Que ce soit dans notre littérature ou dans la réalité quotidienne, nous sommes témoins d'énormes INJUSTICES. je n'en mentionnerai que quelques exemples, sinon la cour est pleine.
J'ai des copains avocats qui m'ont toujours dit que chaque fois que je pourrais il valait mieux N'AVOIR JAMAIS AVOIR AFFAIRE AVEC ELLE (sic).Je n'invente rien...J'en parle donc en connaissance de cause, en qualité de témoin. En 1945, à la fin de la seconde guerre mondiale, que je venais de finir en Allemagne en qualité de sergent chef, dans un glorieux régiment de tirailleurs algériens de la Première Armée, j'avais 19 ans et je venais de réussir au concours d'entrée à Coëtquidan. J'occupais un poste d'officier sur le Rhin et j'étais le roi du pétrole. Quand je fus convoqué à Marseille comme juré d'un tribunal militaire (?!)
Heureusement que ça n'était que comme juré, car lorsqu'on a fait la guerre dans l'infanterie, tout n'est pas toujours clair quand on combat les yeux dans les yeux... J'eus à juger deux jeunes SS français de 17 et 18 ans, dont la mère était allemande et le père, un résistant que j'avais connu et qui transportait pour nous des armes et des explosifs dans son camion citerne pinardier aménagé. Il avait l'air inoffensif, mais chaque fois qu'on passait un "check-point nazi, Ce brave provençal, comme moi-même, en culotte de scout, serrions des fesses tout en souriant béatement pour donner le change. Car si nous avions été pris, c'était primo, la torture puis ensuite le poteau. La mère des gamins était nazie... comme je vous le dis... Le brave vieux me disant qu'il n'avait pas pu s'opposer à l'engagement de ses garçons, sa femme étant une harpie suspicieuse,et qu'il valait mieux pouvoir l'utiliser comme joker au cas il aurait été suspect (...) C'est elle qui avait persuadé ses garçons de s'engager pour la Russie, mais en signant un document précisant; "à condition" de ne faire la guerre qu'aux bolcheviques, ce que la SS en mal d'effectifs sans doute, accepta !(sic).
Les gamins expédiés contraints et forcés, car ils n'étaient pas guerriers, ni pour la cause de la résistance, dont le père ne parlait jamais, ni pour la cause allemande dont la mère leur rebattait les oreilles, arrosant les victoires. Le tribunal comportait un magistrat membre de notre jury ayant abandonné le combat dès que Marseille avait été conquise par "MON REGIMENT", six communistes civils présumés résistants. J'étais le seul décoré.Je fus froidement accueilli... sauf par le magistrat me prenant à part pour m'informer.
Les deux garçons avaient déserté à Sébastopol et étaient rentrés en France par Odessa. Cravatés par la Prévôté à leur débarquement, ils étaient morts de trouille. Aucun des parents n'était présent. Je passe sur la séance, mais les six communistes voulaient les faire fusiller, tout comme s'ils avaient été repris par les Fritz!. Consultant le magistrat qui nous accompagnait , je lui dis qu'en aucun cas je n'accepterais qu'on fusille des gamins dans ces conditions; en soupirant, il me confia que lui non plus , mais que ça aurait pu être dramatique. J'avais sauvé du poteau trois gamins égarés par leur propre mère...
A suivre
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