Mon départ subit du territoire m'ayant interrompu mon texte, je vous prie d'excuser cette défaillance de mon pc.Donc , disais je,les événements mentaux, à leur tourt,doivent se conformerà des modéles culturels par les textes  sacré. Quiconque a lu le CORAN, le contenu des rêves dont le récit  occupe une si grand place est tout à fait classique; il ne fait u reflète un ensemble de thèmesfamilier à TOUT MUSULMAN.

Des trois points cités précédemment, nous étudierons particulièrement le troisième afin d'allèger notre étude et d'étudier les structures qui sont à l'origine de cette offensive de Ben Laden.

Plus le temps s'écoule, et plus les Français, même ceux qui ont voté pour Hollande prennent conscience de l'envahissement, "au sens intégral du terme"dont l'Europe est l'objet par  l'émigration musulmane. Faut il pour autant faire l'amalgame? Alors que 7% de musulmans sont authentiquement français et loyaux... Ces musulmans sont et seront les premières victimes des islamistes triomphants; ce dont nos socialo-verdâtres n'ont pas pris conscience, ce qui est grave pour des gens prétendant gouverner la France et assurer sa sécurité. Toute religion est acceptable tant que ses PRINCIPES FONDAMENTAUX respectent ceux des pays dans lesquels ils émigrent, du fait d'ailleurs de l'incompétence et de la corruption de leurs dirigeants. Je me souviens donc des cris de triomphe dans certains quartiers en France, lors des attentats de  septembre 2001 en Amérique. Ce défi, difficile à comprendre pour les Occidentaux est un véritable défi pour l'ANALYSE.

Un défi qu'il appartient aux intellectuels de relever, s'ils ne veulent pas risquer de s'entendre reprocher un jour, par le Tribunal de l'Histoire, leur INDIFFERENCE, ou pire leur CONSENTEMENT A LA TERREUR. Aussi longtemps que l'OCCIDENT, prisonnier de son narcissisme, se refusera à accomplir un geste élémentaire d'ouverture à l'autre: le geste consistant à regarder les attaques terroristes comme un SYMPTOME; comme un MESSAGE, un SIGNAL. Et non pas une simple péripétie au sens du terme insignifiante. Il faut essayer de déchiffrer ce message, donc de lui trouver un SENS; de son auteur, à l'intention de qui, pour quelles raisons et dans quel but...En y réfléchissant, Ben Laden, ce messie islamique , n'était pas fou, bien aucontraire. Mais il a réveillé comme un prophète, l'islam dans sa totalité. Il y a donc, de ce message, des conséquences à tirer, pour ceux qui souhaitent continuer à faire la guerre , tout comme ceux qui pensent que ça n'a aucun sens. Donc aux Français qui n'ont aucune idée de l'Islam, il faut ouvrir les yeux avec des VERITES; il n'est que temps avant que le programme de TARIK RAMADAN en bonne voie d'exécution se réalise. Simple question de temps.

Aussi déchiffrons ensemble les textes officiels du Coran. Là vous comprendrez vite qu'il n'y aucun compromis possible  et que toute affirmation contraire n'est que vue d'esprit réformiste jusqu'à présent UTOPIQUE ou pur mensonge. Je ne suis ni un théologien ni un philosophe, un simple amateur ayant cependant roulé sa bosse en "homme libre", vécu et combattu avec des musulmans, sans problèmes majeurs, sauf  avec  des Algériens...Des années plus tard, après les attentats de septembre 2001, des négationistes inspirés ou manipulés sont allés jusqu'à prétendre que tout ce cirque avait été organisé par la CIA et les juifs. Les mêmes qui prétendent encore qu'il n'y a jamais eu de chambres à gaz. L'opinion musulmane travaillée par les immams se trouve en proie à un DENI de réalité, dans le monde arabe majoritairement et de plus en plus en Afrique noire, où les Chrétiens sont persécutés, voire désignés à l'extermination sous le prétexte religieux.

Ben Laden a tenu par son EXPLOIT, à démontrer une PROUESSE dont tout musulman ne pouvait que se féliciter. Pari réussi en grande partie. L'évolution en cours de l'ISLAMISME et du SALAFISME dans le monde atteste bien le succès de son entreprise. Lors des attentats, les musulmans ont commencé par se réjouir, la minorité islamiste par conviction, la majorité silencieuse par peur de se faire repérer(omerta). Alors qu'une minorité active s'occupait de la suite des opérations. D'abord avec la chaîne télévisée AL-JAZEERA, exploitant les messages des talibans et autres djihadistes, et menant une propagande permanente. Les guerres qui s'ensuivirent ne firent que persuader les musulmans qu'il s'agissait bien d'un complot juif international...

Dans ce cirque gigantesque, les étudiants saoudiens reprenant les litanies , et pour cause, puisque le mal vient de l'Arabie Saoudite, vocifèrent contre les juifs maudits. Une affaire bien menée.Jusqu'en Septembre 2002,ou un "poéte lauréat du New Jersey",noir américain LEROY JONES, converti à l'islam, sous le nom d'AMIRI BARAKA, se lance dans la partie lors d'une lecture publique de ses poèmes (!!!)L'islamisme progresse comme un torent. Pour les islamistes ils viennent de prouver leur capacité à frapper l'ennemi, donc que cette possiblité était virtuellement infinie. C'était le jour de leur première grande victoire dans cette guerre méconnue opposant depuis 1967, l'L'ISLAM DANS SON ENSEMBLE à l'OCCIDENT DANS SA TOTALITE. D'ailleurs comme ils continuent à le proclamer haut et fort , c'est la guerre, la célèbre GUERRE SAINTE ou DJIHAD. D'où la thèse meprisée en Europe , mais adoptée par les islamistes du" clash des civilisations" du politologue américain, Samuel P. HUNTINGTON, qui mérite d'être étudiée car elle semble bien en voie de réalisation bien que tout ne soit pas à prendre à la lettre.

L'idée selon laquellle les grands conflits du XXI° siècle seront religieux avant tout, est à prendre en considération. L'expression de"choc des civilisations" est due à Bernard LEWIS en 1990 dans son livre" The roots of Muslim Rage", the Atlantic monthly. En remontant dans l'histoire, le premier intellectuel à avoir réfléchi sur le choc des cultures a été probablement..... MONTAIGNE ! dans son ouvrage:"DES CANNIBALES"'( Essais, I, XXXI). Le jour où les israéliens ont occupé JERUSALEM, la Cisjordanie, le Golan et la bande Gaza, ils ont rallumé les feux d'une guerre impitoyable qui n'est pas près de s'éteindre.

De toute notre approche , il faut déduire 3 points:

1/ l'histoire n'est pas indépendante de la manière dont on l'écrit.

2/ La manière dont écrit l'histoire doit traiter comme des objets de même nature les événements visibles ainsi que les événements MENTAUX qui accompagnent ceux-ci.

3/ ces événements mentaux, à leur tour, doivent se conformer à des modèles culturels fixés par les textes sacrés de l'ISLAM.

Afin de ne pas vous saturer, nous attaquerons certains textes fondamentaux du Coran la fois prochaine)Inch'Allah!

A notre connaissance, nous serions toujours en guerre depuis  ce septembre fatidique de 2001.Mais comme vous pouvez le constater en France et en Europe du moins, cela n'apparaît guère. Et dire que nous serions en pleine islamisation vous fait passer automatiquement pour un facho. C'est dire où en est notre démocratie... Lors de l'élection de François Hollande, le tableau de la Bastille, cher à Mélanshow, est si révélateur que même des socialistes commencent à s'inquiéter. Ils font bien, car la machine de TARIK RAMADAN  fonctionne à plein. La quasi absence de drapeau tricolore est révélatrice d'une victoire, mais pas celle de la France profonde comme nous ne tarderons pas à le constater. Les Français sont longs à comprendre et le plus souvent lorsqu'ils s'éveillent, il est trop tard. Sachez cependant, chers concitoyens encore lucides, qu'heureusement, aux postes de la Défense, jusqu'ici, n'en déplaise aux vainqueurs ACTUELS, toujours critiques systématiques et aveuglés par la démagogie, que des hommes et des femmes ont fait leur travail. Sans publicité et heureusement sans que les médias ne sen mêlent.

Donc , il n'est pratiquement pas de mois sans que nos gens ne découvrent un complot visant une attentat étouffé dans l'oeuf. Aussi bien aux Etats Unis, en Grande Bretagne et même en Europe. A titre anecdotique, et sans révéler sources ni détails, que je vous conte une de ces authentiques aventures instructives, qui a bien failli réussir à cause d'un manque de synchronisation entre la CIA et les services secrets de Sa Majesté. Primo, l'organisation des "fils" d'El Qaeda, est devenue de plus en plus sophistiquée et structurée. A la tête de ces groupuscules actifs, des étudiants formés dans nos universités et grandes écoles (sic). Parmi les exécutants de la base, des chômeurs ou traîne-savattes  fanatiques, adeptes de la Charia, haïssant férocement l'Occident satanique. Le terme de féroce correspond exactement aux sentiments de ces excités, vivant parmi nous et éduqués et instruits par nos soins.Les habitants des cités encore dans leurs murs le savent.

Le plus souvent, les ordres viennent du Pakistan rongé jusqu'à la moële par les talibans. Principalement des zones frontiéres du nord ouest et du Balouchistan. Où nos zèbres voyagent assez librement comme on a pu le voir récemment dans l'affaire Mohamed MERA. Au point qu'il est extraordinaire avec nos lois, que nos services puissent encore être éfficaces. Lorsque le dernier soldat allié aura quitté l'Afghanistan, car il faut bien qu'on se retire de ce bourbier, ce pays connaîtra une guerre civile comme en Irak, en pire, quand on connaît l'extrême sauvagerie des talibans. Le pays deviendra un camp d'entraînement international en vue du CALIFAT MONDIAL programmé. Souvenez vous bien de ce message!

 L'affaire que je vais vous conter brièvement, démarra de Grande Bretagne, pays charançonné par les islamistes, où Tarik RAMADAN officie légalement et prépare "la tâche d'huile" qui doit submerger à terme l'Europe. Par bonheur, les Américains plus soucieux depuis 2001, ont un jour prévenu les cousins britanniques que des malfrats islamistes préparaient un COUP. Mais lequel? Où? Comment?

Aussitôt la fourmilière britannique s'active, car si leurs lois sont aussi débiles que les nôtres, leurs services sont heureusement efficaces avec quelque mérite! Passons sur les détails, ce serait un vrai polar. En partant d'un, puis  deux étudiants, vaguement suspectés, les Britishs découvrent un pot aux roses en train de préparer un GRAND COUP, aussi terrifiant que celui de New York. Mais ils sont loin de découvrir son importance malgré des mois de chasse ininterrompue. Pas question d'arrêter la cellule dont ils craignent de ne pas coffrer tout le monde, mais pire, de ne pas savoir où, ni quand, ni comment cet attentat aura lieu. Arrêter ce beau monde avant l'attentat c'est les voir acquittés, faisant un bras d'honneut à la justice. Trop tarder à découvrir l'objectif, c'est risquer de louper l'affaire, dont on verra que si elle avait abouti, elle  aurait été CATASTROPHIQUE, ces braves jeunes gens voulant faire mieux que leurs héroïques collègues de septembre 2001.

Ils ne manquaient ni d'esprit d'initiative ni d'originalité criminelle. Après quelques expériences réussies au Pakistan, ils avaient découvert l'explosif liquide que l'on pouvait placer dans des bouteilles de boisson sucrée non alcoolisée vendues dans le commerce, dont on ne pouvait détecter la dangerosité. Mais ils ne se doutaient pas que chacun d'eux était suivi, nuit et jour, logés et même espionnés jusque dans leur repaire par des gadgets, micros et micro-caméras déposés par une équipe de cambrioleurs du service action. Les méthodes fascinantes utilisées lors de cette chasse, mériteraient un long développement. Malgré ce dispositif remarquable, les Anglais ignoraient toujours l'objectif ou les objectifs. Jusqu'au jour,ou en surveillant les écoutes et les messages internet, pourtant codés,  les agents décelèrent une subite nervosité indiquant que l'affaire était proche. Par leur ingéniosité et leur flair, ils finirent par découvrir l'ampleur d'attentats qui auraient pu avoir lieu sans problème... En effet, ils envisageaient "délibérément" de sacrifier leur  femme et enfant porteur de bombes  liquides en qualité de passagers sur des vols décolant de Grande Bretagne à destination de San Francisco! Mais l'organisation était diabolique. Sept avions de ligne  partant  à des heures rapprochées auraient du exploser en vol alors que le premier n'aurait pas atteint le continent américain et le dernier  étant au large de l'Irlande. Plus de trois milles innocents, plus les Kamikazes auraient disparu corps et biens... Dormez bien citoyens, tant que nos services seront en mains d'agents de cette qualité, les risques ne seront pas pour autant éliminés, mais si par éléctoralisme et recherche de popularité dans les rangs ENNEMIS, des agents devaient sur ordre, relâcher la veille, et la justice , sous prétextes divers, faire preuve de laxisme. Ces responsables mériteraient simplement la mort, et le SAVOIR. Nous sommes EN GUERRE... 

Dans un précédent article, nous avions dénoncé la différence entre panoplies occidentales et celle des insutgés. Ces derniers , bien que ne disposant d'aucune aviation tenaient tête aux forces modernes dont nous avions le monopole absolu. Mais l'ennemi combattant sans uniforme, se mélangeant constamment au sein  des populations civiles, les prenant parfois résolument comme boucliers humains rendaient notre combat particulièrement difficile. A 18 ans , lors du débarquement en Provence, j'avais  aidé comme orienteur à placer un team allié  d'appui aérien pour empêcher les blindés allemands de pouvoir rejoindre les plages de débarquement. Mission accomplie avec les redoutables escadrilles deTHUNDERBOLT. J'en avais été ébloui et  conclu que cette façon d'opérer, reprise aujourd'hui en Afghanistan était une manière   très efficace lorsqu'aucune artillerie n'est à portée de tir d'appui des troupes au sol. En l'occurence une divison parachutiste américaine aéroportée entre Vidauban et Le Muy. Mais nous étions en guerre symétrique. Lors des opérations de la prise de Marseille, intégré dans un régiment d'infanteri de la 3°DIA (1° Armée française) je perdis l'ocasion de me retrouver dans cette situation derrière les lignes ennemies. Et jusqu'à l'armistice je n'ai plus été témoin du moindre appui aérien. Mais ma vocation d'officier spécialisé dans l'appui aérien vient de ce premier contact.

C'est en Indochine que j'eus de rares occasions de diriger depuis le sol des bombardements pour protéger mon "quartier"par des bombes  clusters larguées de nuit lors d'attaques de postes isolés. Toujours la même efficacité et des dégâts humains sévères chez les Viets. En ce temps-là nous n'étions pas importunés par les journalistes, dont je n'ai vu la queue d'aucun d'eux durant trois ans. Ce qui explique que les méthodes employées fussent souvent redoutables pour les populations au milieu desquelles les viets retranchés nous occasionnaient de lourdes pertes, bloqués que nous étions dans la boue de la rizière, obligés de nous replier en rempant dans la boue à la recherche d'un abri. Les bombardements au napalm étaient terribles et la précision de nos bombardiers , souvent approximative. En général nous avions confiance dans les chasseurs de l'Aéronavale pour la présion et la prise de risque. Donc la population française qui se foutait complètement de ce qui se passait à plus de 15.000 kilomètres de l'hexagone n'était jamais intervenue pour nous traiter de barbares. Puis progressivement, le centre de gravité des conflits se déplaça désormais dans les toutes PUISSANTES OPINIONS PUBLIQUES occidentales grace aux journalistes pas tous copréhensifs ou alliés (euphémisme).Notre combat commença à devenir plus  dangereux pour nous, en première ligne. Ce qui était toléré car ignoré à l'époque ou considéré comme tout simplement la guerre: point!. Qu'on ne puisse la  faire sans casser des oeufs déclancha les cris d'orfraie des âmes compatissantes dont les politiciens nous avaient expédiés au casse-pipe sans état d'âme.

Il est un fait, que moins durement que les soviétiques et les Américains dans ce domaine, nous étions obligés de faire règner une espèce de terreur en nous prenant autant aux civils qu'aux combattants de ces guérillas que nous retrouvâmes en Algérie. Au Vietnam ce fut pire car nous avons connu la guerre asymétrique puis finalement bel et bien la guerre classique dite symétrique où nous nous sommes retrouvés minoritaires face à une armée viet supérieurement armée et résolue, sans état d'âme pour sacrifier BODOÏS(soldats réguliers) et populations civiles pour la cause, suivant les méthodes communistes impitoyables.

Ce fut considéré comme INACCEPTABLE. Il aurait fallu donc faire une guerre en dentelle entre gentlemen. Et l'Occident est entré dans une phase de son histoire où la  dimension SOCIALE et HUMAINE de la stratégie l'emporta sur la dimension militaire... dès lors, nous devenions sinon impuissants mais beaucoup plus vulnérables voire transformés en cibles obligés de  prendre des risques beaucoup plus grands. De ce fait nos pertes s'accrurent et le temps travailla en faveur de la guérilla. La supériorité technologique aérienne occidentale, tant en matériel qu'en DOCTRINE et TACTIQUE n'y pouvait plus rien . Ceux qui ont vécu ces épreuves ne les oublieront jamais. Des intellectuels bien au chaud à Paris et ailleurs sont devenus les maîtres, introduisant une sensibilité largement orchestrée par les médias oubliant que les Viets comme les fellaghas se sont comportés comme d'horribles bouchers, à l'égard de leurs propres populations. Les soldats ont dès lors été considérés comme des ilotes ou des mercenaires dont c'était simplement le rôle de mourir...

Le choix des avions convenant à ces types de guerres aurait du intervenir bien plus tôt; en effet utiliser des chasseurs à réaction pour ces missions exigeant une précision métrique et une grande maniabilité fut un non sens  onéreux . Ayant fait la guerre d'Algérie dans une escadrille de T6 ( avion  école à Hélice américain transformé en chasseur d'appui au sol) j'ai pu pendant deux ans vérifier que ces avions convenaient mieux  que des réacteurs trop rapides, moins maniables pour ce jeu du chat à la souris. Nous étions armés de deux mitrilleuses, de roquettes de 60M/M et parfois de paquetages de bombes de dix kilos. Notre escadrille n'a jamais eu à bombarder villages, douars ou mechta isolée non vérifiée. En dehors de missions spéciales et de surveillance de la frontière algéro-marocaine, nous n'avons attaqué par surprise des katibas à découvert franchissant les frontières dans un sens ou dans l'autre ou appuyé des attaques d'unités terrestres avec efficacité.